Au cours de l'année académique 2024-2025,
au sein de l'IEA, nous continuerons :
nos rencontres de la série : "Comment nommer le monde dans lequel nous vivons",
ainsi que d'autres événements inspirés par nos lectures actuelles.
IEA, le 17 juin 2024
Spotkanie z
Panią Profesor Mélanie Schmitt,
w ramach seminarium pt.:
“Orzecznictwo ETPCz w sprawach socjalnych.
Perspektywa Wschodu i Zachodu”.
Poznań, Collegium Iuridicum, s. 316,
27.05.2024, godz. 16.oo
A w dniu 25 maja, rozmawiamy o:
“Zasadzie subsydiarności w dobie kapitalizmu”.
Gdynia, Domek Żeromskiego, ul. Orłowska 6, godz. 18.00
Anna Musiała
CBZ, 19 maja 2024 r.
* ze względów organizacyjnych, proszę o zgłaszanie chęci uczestnictwa
do dnia 24.05 na adres: musiala@amu.edu.pl
Ostatnie publikacje
Pana prof. José Eduardo López Ahumada,
to prace dotyczące praw cyfrowych pracowników.
Poświęcił On im dwie duże monografie, jako efekt pracy zespołu badawczego, którym kierował przez ostatnie kilka lat. Prace te mają być inspiracją “krakowskiej” części wizyty.
CBZ, 5 stycznia 2024 r.
Une rencontre avec M. le Professeur Andrzej Szahaj,
autour du thème
"Démocratie/démocratie dans l'établissement de travail",
autour des livres : Andrzej Szahaj, "Le capitalisme de l'épuisement"
et Jacques Rancière, "La haine de la démocratie".
IEA, le 2 novembre 2023, 18h00
Uroczyste spotkanie z
Panem Profesorem
José Eduardo López Ahumada,
w ramach seminarium pt.:
“Prawa społeczne w kryzysie a rola myśli lewicowej:
czy są różnice w dekompozycji tożsamości lewicy
w Europie i Ameryce Płd.?”
Poznań, Collegium Iuridicum, s. 316,
9.01.2024, godz. 17.30.
Pan Profesor wygłosi także dwa inne wykłady:
1. “O teoretycznych podstawach hiszpańskiego prawa pracy (8.01, Poznań, godz. 17.30)”
2. “Prawa cyfrowe (los derechos digitales) zatrudnionych w hiszpańskim porządku prawnym” (12.01, Kraków, godz. 19.00)
Anna Musiała
CBZ, 4 stycznia 2024 r.
* ze względów organizacyjnych, proszę o zgłaszanie chęci uczestnictwa do dnia 10.01 na adres: musiala@amu.edu.pl
prof. Andrzej Szahaj
La deuxième partie d'une réunion annoncée depuis longtemps avec
David OST,
autour du livre : "Solidarity and the politics of anti-politics".
Je tiens à remercier chaleureusement
David OST pour sa conférence passionnante,
et
Mme la Prof. Małgorzata Jacyno,
Mme la Prof. Monika Kostera,
M. Jarema Piekutowski,
pour la préparation matérielle et organisationnelle de la réunion
et pour leur excellente participation.
Anna Musiała
IEA, le 11 octobre 2023.
Une conférence du Prof. Nicole Maggi-Germain,
sous le titre :
"La participation de
l'organisation internationale du travail
dans la construction d'un ordre mondial du travail"
IEA, le 16 octobre 2023.
(s. 4.07, Collegium Iuridicum Novum, Poznań, 13h 15)
prof. López Ahumada José Eduardo
prof. David OST
Aujourd'hui, avec "mes" séminaristes
nous avons rencontré le professeur David Ost
pour parler de la
la déformation sociale du droit du travail en Pologne.
Professeur, nous tenons à vous remercier chaleureusement pour cette excellente rencontre
et
nous nous réjouissons déjà de vous rencontrer
"après les vacances".
Anna Musiała
IEA, le 25 mai 2023
prof. David Cayla
Conférence 1: Le néolibéralisme est-il en déclin?
(24.04, godz. 16.45, Collegium Iridicum Novum, Poznań, al. Niepodległości 50, s. 2.3, tłum. na polski)
David Cayla
Economiste, chercheur au GRANEM, Université d’Angers
Depuis l’effondrement du système de Bretton Woods au début des années 1970, la plupart des pays du monde, parfois poussés par les institutions internationales, ont engagé des politiques inspirées de la doctrine néolibérale, fondée sur l’idée d’organiser le système productif, et plus globalement la société, sur le principe des prix de marché. En cela ils rompaient avec le régime de régulation des prix des biens de production qui s’était imposé au moment de l’après-guerre.
La crise financière de 2008 a cependant bouleversé les politiques économiques et monétaires. Devenues des acteurs majeurs de nouvelles de régulation à travers les politiques de «quantitative easing», les banques centrales sont intervenues massivement sur les marchés financiers et en soutien à la dépense publique. Ce retour d’une forme de régulation étatique au sein de la sphère financière marque-t-il le déclin de la doctrine néolibérale? La résurgence de l’inflation est-elle le signe d’une perte de contrôle? Ce qui est certain, c’est qu’un changement de pratiques est en train d’émerger et que les désordres croissants de l’économie mondiale et les impératifs environnementaux imposent de repenser plus globalement le rôle économique de l’État.
Conférence 2: The Eurozone Debt Crisis (2010-2013) How the Single Market Exacerbated the European Divergences
(25.04, godz. 16.00, Collegium Iridicum Novum, Poznań, al. Niepodległości 50, s. 0.1)
David Cayla
Economist, GRANEM research center, University of Angers
The real causes of the euro crisis (2010-2013) are still questioned. For the European authorities, it was mostly due to the imperfection of national institutions of the affected countries. In response, they recommend policies focused on the correction of these imperfections by demanding reforms in a move towards a balanced budget and improved competitiveness.
This presentation aims to point out the role of the Single Market in the intra-eurozone divergence process that lead to the debt crisis of the peripheral countries. We found that the Single Market has strengthened the agglomeration mechanisms (Krugman 1991), which explains the geographical industrial polarization of Europe. Although this dynamic has been beneficial for the core European countries, it accelerated the deindustrialization of southern economies. Moreover, the policies pursued since 2010 have failed to correct the economic imbalances. It then appears that only a profound reconsideration of the rules that organize the functioning of the Single Market would be likely to stop the current divergence dynamics of European economies.
Rafał JAKUBOWICZ: né en 1974 à Poznań. Diplômée de l'Académie des Beaux-Arts (Faculté d'éducation artistique et Faculté de peinture, graphisme et sculpture) et de l'Université de Adam Mickiewicz à Poznań (Faculté de langues modernes - spécialisation : hébreu). Membre du syndicat national Inicjatywa Pracownicza.
Pôles d'intérêt du Pr. Rafał JAKUBOWICZ : précariat, travail immatériel, reproductif, biopolitique ; le marxisme autonomiste (opéraïsme et post-opéraïsme) ; le mouvement syndical ; les pratiques d'exploitation et de résistance dans la zone économique ; les coûts sociaux de la transformation (thérapie de choc) en Pologne et en Europe de l'Est ; le chômage et racisme de classe ; les politiques anti-sociales du logement (dites «restitution de la propriété» et «de nettoyage des immeubles»), les ghettos de pauvreté et la gestion pénale de la pauvreté; la nouvelle classe de combat ; la gentrification (y compris le rôle des artistes dans celle-ci); l'artiste comme travailleur ; l'usine
l'éducation contre la politique néolibérale de rentabilité ; l'appropriation de la mémoire dans le contexte de l'histoire politique ; l'embourgeoisement de la mémoire ; les manières de travailler la mémoire traumatique dans l'art contemporain ; le discours sur l'Holocauste dans la culture et la politique d'Israël ; La langue hébraïque dans l'art des artistes visuels, conceptuels et post-conceptuels en Israël.
Plus: http://www.jakubowicz.art.pl
Sur l'ouvrage :
"Le travail n'est pas une marchandise"/
"Praca nie jest towarem"
par le prof. Alain Supiot,
en traduction polonaise.
Cet ouvrage est la première publication de l'IEA
IEA, le 2 janvier 2023
«Aux sources démocratiques du malaise dans la temporalité»,
Temporalités, n°30/2020
Prof. Paul Zawadzki enseigne la philosophie politique et les sciences sociales au département de Sciences politiques de l'université de Paris 1 Panthéon- Sorbonne. Je suis rattaché au laboratoire GSRL (Groupe Sociétés Religions Laicités) de l'Ecole Pratique des Hautes études, et il est également membre de l'Institut européen Emmanuel Levinas (IIEL).
La rencontre, intitulée :
" Sur la crise du salariat dans le capitalisme tardif ",
est la continuation de la discussion menée sur le travail et la fin du capitalisme,
qui a débuté par une discussion autour du livre de :
Wieslawiec Deluxe
"Tout travail est une honte.
Salutations du capitalisme tardif ",
aux éd. Znak, 2022
Prof. Dr. Bojana Kunst studied in Ljubljana, Slovenia, and is a full professor at the Institute for Applied Theatre Studies / ATW – Institut für Angewandte Theaterwissenschaft, Justus-Liebig University Giessen.
She is the author of the book: “Artist at work. Proximity of art and capitalism”, Washington USA 2014.
“Artist at work. Proximity of art and capitalism”.
“Artistic work is the focus of my interest because it allows us to analyse some important characteristics of the development of contemporary art in the last few decades and especially the changes in the forms of artistic autonomy that appeared with the increasing closeness of art and life. The aim of my book is therefore to note that these changes are closely connected to the changes in contemporary capitalism and the entry of post-Fordist ways of production into the centre of contemporary production.” (p. 18).
“Old forms of life become obsolete even before they can actually be absorbed. This opens up the way for subjectivity, which experiences its transformation through constant existential paradoxes. This makes us live in a constant state of tension, at the edge of anxiety; it is this state that causes an increase in our investments.” (p. 21-22). “(…) In this context, I see radical consumption as the consumption of the body, presence, human actions and abilities, physical strength, spiritual power and effects; it aims to intervene into the intersubjective and productive nature of subjectivity and, in this way, also open up the relationship between performers and spectators.” (p. 22).
“The problem is therefore that in today’s capitalism, we work in the manner that Abramović calls performance mode. One’s work is intertwined with the performing and the maintenance of creativity; in this, one should ignore every disturbance from the environment or political context, as well as any antagonist disturbance that comes from the sphere of the public. (…) This loss of voice is also quite close to the contemporary ways of working; those can also be revolutionary works without a political voice, with art and the contemporary creative work closely resembling each other in this aspect.” (p. 42-43).
“But what happens with capitalists who donate their wealth to art and receive tickets to the performances art pieces of the rich, in which they not only participate, but are also critically addressed? Their pleasure lies in the critical attitude towards them; it is in the co-existence of their status as the rich and a parodic critique of their role.” (p. 47).
“Today, these social relations are at the core of generating value, with manners of production connected to the exploitation of these relations. At the same time, the dematerialization of objects and the fetishisation of open procedures and transparent relations are at the core of post-Fordist shifts in the understanding of work and production.” (p. 59).
“The museum is still a space for production, a space for exploitation; in the <<museum as a factory>>, things are still produced.” (p. 63).
“It is also non coincidence that many venues intended for the contemporary artistic events actually inhabit former Fordist factories that there were deserted after the relocation of Fordist production to non-Western countries.” (p. 64).
“Let us ask ourselves, where this accurate description of the highly ambitious performance artist actually comes form. Is this not the description of the contemporary worker, equipped for continuous high performance? That of the always critical and active labourer, whose subjectivity in entirely subjected to the modes of contemporary capitalist production?” (p. 80).
“What, then, is the community? Paradoxically, it is the constant dispossession of collaboration and its possibilities.” (p. 96)
“(…) the communities are much more coincidental and flexible and are not connected to a certain space; they are actually not united by work, but over the very specific temporal dimension of meeting.” (p. 97).
“This intriguing connection between work and future underlines the excessive use of the world “project” in the contemporary artistic and creative professions; it is linked with a specific time dimension of work and creation, which I will term “projective temporality”. (p. 157).
Monika Maria Kostera est née le 28 février 1963 à Varsovie. Sociologue polonaise, elle est professeure titulaire de sciences économiques (2004) et de sciences humaines (2017), professeure ordinaire à l'Université de Varsovie. Professeure à l'Université de Södertörn en Suède et à l'Institut Mines Telefon Business School ( Université Paris-Saclay en France).
“An imaginoscope for organisers. Liminal stories for liminal times”, Washington USA 2021.
„Big social structures are dissipating and the social-economic system that embraces all the important institutions and organizations is dysfunctional. Yet there is no new working system on the horizon. (p. 2).
Neoliberalism is capitalism that has lost its memory: it is a system suffering from dementia. It is unable to learn and lacks imagination. This – at a time when we need alternatives more than ever to leave the void of the interregnum collectively and construct a new system that would be more human and ecologically sound than the former one. (p. 5).
Biology professor David Sloan Wilson (2021) expressed a strong conviction of the urgent need for stories that would reflect the human condition better than the ego- and individual-centred ones that now dominate in the public course. (p. 11). (…) But can we? How would this be possible in a tremendous crisis of imagination? (p. 11-12).
The imaginoscope is a device used to observe and experience objects and events taking place in the imagination. It is made entirely of imaginary matter. (p. 12).
The researcher is like a traveller betwixt and between known worlds, attentive and curious about everything, refraining from categorizations judgement, a light of pure consciousness immersed in the surroundings yet not quite there at all, devoid of a normal role and thus almost socially invisible. (p. 19-20).
However, we are so rarely listened to; we listen so rarely. (p. 40).
We are not able to understand management without understanding art. It is impossible to understand economic development without an aesthetic perspective (p. 114-115). (…) Social constructs, such as the market, organizing and management are all related to morality and aesthetics. (p. 115).
Our times tend to keep at hand a set of ready rapid, automatic categories for everything, which usually come in stark binary oppositions. It is always either this or the other, never and – and. Whenever a third alternatives appears and acquires a transitory status is swiftly re-categorized into one of the originals. (p. 145).
“After the Apocalypse. Finding hope in organising”, Washington USA, 2019.
We live increasingly in a world where we do not feel safe, or even at home, yet so many of us seem to think this is all that there is. As in Margaret Thatcher’s famous declaration: there is no alternative. And this is exactly what is the most dangerous of today’s many perilous tendencies. We need alternatives more than ever, and not just any alternatives but ones which give us resilient, sustainable and meaningful ways out of the interregnum and into a future worth living in. (p. 7).
The employee is a cultural construct which can be understood in a historical context, a social role central for the development of the industrial society, organized around several discipling institutions such as depersonalization of relationships, quantification as replacement for trust and reductionist rationalization. These institutions have been normalized and appear “normal” or even “inevitable” but they are neither of these things. (p. 118).
Profesor Raphaël Dalmasso,
profesor Uniwersytetu de Lorraine, we Francji.
Wiesławiec Deluxe, est né en 1985. Diplômé en relations internationales et en sociologie à l'Université Jagellonne de Cracovie, il est ancien enseignant universitaire et boursier du DAAD aux Archives Vilem Flusser de l'École des Beaux Arts de Berlin, et depuis 2013, employé dans diverses entreprises. Auteur de fan page, chroniques publiées dans Ha! Arcie et magazine Going.More. Il est auteur du livre "Chaque travail est honteux. Salutations du capitalisme tardif ", publié par la maison d'édition Znak en 2022.
Ce fut aujourd'hui une excellente occasion de discuter des effets de la transformation dans le domaine des droits sociaux, et de facto, du droit du travail, du sens de revenir à ce qui est - pour beaucoup – un traumatisme, une blessure non refermée, pour la société polonaise et les classes qui ont alors disparu, blessure ayant eu un impact si énorme sur le monde du travail moderne.
Pour cette merveilleuse discussion, je tiens donc encore une fois à remercier :
Monika Kostera, Remigiusz Okraska et Jarema Piekutowski
Anna Musiała
CBZ, le 11 octobre 2022.
prof. Mélanie Schmitt
Conférence à l’Institut d’études avancées de l’Université de Poznan – 6 octobre 2022, 10h 00
La surdétermination économique du droit du travail de l’Union européenne
L’objet de la conférence est de questionner l’inscription du droit du travail dans le projet fondamentalement économique qu’est l’Union européenne, en vue de révéler les finalités et les fonctions de cette branche du droit.
Notre réflexion est basée sur une présentation des trois ensembles normatifs qui sédimentent et composent le «système» actuel du droit du travail de l’UE: 1) le droit du travail du marché intérieur, centré sur les libertés de circulation; 2) le droit de l’harmonisation sociale, visant la protection des travailleurs; 3) le droit du marché du travail, concourant aux objectifs de croissance et d’emploi au sein de la coordination des politiques économiques des États membres de l’UE.
À partir de deux évolutions récentes primordiales, nous proposons d’analyser le déplacement des équilibres propres à chaque ensemble et de l’articulation entre ces trois ensembles. Nous tenterons d’en tirer les enseignements pour la construction juridique de l’Europe sociale.
La première évolution résulte de jurisprudence de la Cour de justice de l’Union européenne au sujet de la directive UE n°2018/957 sur le détachement des travailleurs. Dans deux arrêts importants du 8 décembre 2020 rendus à l’occasion de recours en annulation de cette directive formés par la Pologne et par la Hongrie , la Cour rejette les arguments des gouvernements polonais et hongrois fondés sur une vision économique des règles du détachement en matière de droit du travail, et procède à une réinterprétation sociale de ces règles en introduisant le concept inédit de «concurrence équitable» dans sa jurisprudence. Désormais, la rémunération des travailleurs ne peut plus valablement constituer un élément de concurrence entre les États membres, leurs entreprises et, in fine, leurs travailleurs.
La seconde évolution résulte quant à elle de l’adoption en 2017 du Socle européen des droits sociaux et sa mise en œuvre subséquente. Conçu pour renforcer la dimension sociale de l’Union économique et monétaire, ce texte peut être analysé comme un (nouveau) programme de développement la politique d’harmonisation sociale de l’UE. Le droit du travail de l’Union européenne en ressort encastré dans la politique économique, qui lui impose ses objectifs, ses méthodes et, plus largement, sa rationalité.
Plus d’informations:
Wydział Socjologii Uniwersytetu Warszawskiego
Liste des invités:
Bruno Amable, Université de Genève, Département d’histoire, économie et société
Stéphane Beaud, Institut d'études politiques de Lille
Paul Gradvohl, Centre national de la recherche scientifique
Małgorzata Jacyno, Université de Varsovie, Faculté de sociologie
Małgorzata Kowalska, Université de Białystok, Institut de philosophie
Michał Krzykawski, Université de Silésie, Centre d’études critiques sur les technologies
Katarzyna Marczewska, traductrice
Nicolas Maslowski, Université de Varsovie, Centre de civilisation française
Anna Musiała, Université de Poznań, Institut d’études avancées
Magdalena Nowicka-Franczak, Université de Łódź, Faculté d’économie et de sociologie
Michel Pialoux, École des hautes études en sciences sociales, Centre de sociologie européenne,
Maxime Quijoux, Centre national de la recherche scientifique, Laboratoire interdisciplinaire pour la sociologie économique
Filip Rogalski, anthropologue, traducteur
Krzysztof Świrek, Université de Varsovie, Faculté de sociologie
Izabela Wagner, Collegium Civitas